• "Des chats comme vous et moi" d'Anne-Marie C. Damamme aux Editions La Tour Verte  

     

     

    Livre :  

     

    Entre les toasts du petit-déjeuner et le thé de l'après-midi, les chats provinciaux ou citadins observés par Anne-Marie C. Damamme épousent les émotions vécues par les humains. DAns la tradition des romans anglais qu'elle affectionne, l'auteur compose un cocktail inédit, mêlant aux tourments de la vie sentimentale ou domestique de ses protagonistes et aux petits riens du quotidien un brin d'ironie mordante, pas mal d'humour décalé, un zeste de cruauté, une tendresse bienveillante pour la gent féline, et un soupçon d'étrangeté. N'est-ce pas là une belle description de la personnlité du chat ?
    Dix nouvelles ciselées avec art, autant d'histoires où les chats sont acteurs ou spectateurs d'un subtile comédie humaine.

    ( Source 30Millions d'Amis )

     

     


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  • Venise sauvée par ses chats :   

     

    Auteur :   Robert de Laroche Présentation de l’auteur : Grand amoureux des chats, Robert de Laroche vit une partie de l'année à Venise, à laquelle il a consacré plusieurs livres, en particulier l'album Chats de Venise, avec des photographies de Jean-Michel Labat.   Editeur :   La Tour Verte Collection :   Plumes de chats  
    La cité des Doges leur appartient ; s'ils goûtent avec volupté le soleil dans la journée au détour des ruelles et placettes, les chats de Venise vivent la nuit de bien étranges métamorphoses. Sur les Zattere, dans le Ghetto, à deux pas de San Rocco, à l'Accademia, au Rialto comme à La Fenice, dans les palais du Grand Canal ou sur l'île de Torcello, les chats sont ici partout chez eux, et se mêlent aux humains pour les entraîner dans une ronde insolite abolissant le temps. Avec les chats, le fantastique n'est jamais loin, surtout lorsqu'ils évoluent dans la plus mystérieuse ville du monde.

    Et si les chats étaient véritablement l'âme secrète de Venise ? C'est la réponse que nous donnent ces nouvelles et récits qui enchanteront aussi bien les amants de la Sérénissime que les inconditionnels de la gent féline.

    ( Source 30 Millions d'Amis )

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  • "Lettres Siamoises" de Marie-Louise Navarro
    Aux Editions La Tour Verte .

     

    Lettres siamoises :  

     

    Quand Kao Coquin, le chat siamois de Lilian Jackson braun, correspond avec Pancho de Ramidhipati, chat lui aussi siamois de la traductrice française de ses romans, cela donne un savoureux échange de lettres où les deux compères évoquent leur mode de vie de part et d'autre de l'Atlantique. D'autres chats entrent dans la ronde épistolaire, pour notre plus grande joie.
    En écrivant ses Lettres Persanes, Montesquieu pouvait-il se douter que d'impertinents chats siamois prendraient un jour sa suite ? Ces Lettres siamoises raviront celles et ceux qui savent à quel point le chat du Siam est proche de ses maîtres : ce livre délicieux, entre le rire et l'émotion, nous en donne brillamment et "philosophiquement" la preuve. Il ne lui manquait que la parole ? Voilà qui est fait !


     ( Source 30 Millions d'Amis ) 


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  •    " ....... Je me souviens de cette femme, un soir, qui pleurait... C'était chez des amis. On se donnait des nouvelles des enfants. Elle avait dit simplement « Mon petit chat est mort ». Et elle s’était mise à pleurer… Et, dans un coin du salon, un monsieur avait dit à un autre, en haussant les épaules : " ce n’est qu’un chat, quand même !... "
    Ce n’est qu’un chat !... Mais c’est immense, un chat, vous ne savez pas, Monsieur ? C’est immense… Vous n’en avez pas, évidemment, et vous ignorez que l’on peut avoir, lorsqu’il s’en va à tout jamais, autant de chagrin que s’il s’agissait d’un enfant… Aux gens qui n’en ont pas, ça paraît sacrilège…Comment peut–on comparer, n’est ce pas ?...
    C’est parce que vous ne savez pas, Monsieur. Vous ne savez pas la place que ça prend, un chat, dans une vie – ces yeux d’or qui vous dédient un regard d’éternité, cette patte douce qui se pose sur votre main, ces mouvements qui sont la beauté et la grâce et dont chacun exprime une sensation, un sentiment, et cette tête ronde et dure qui se colle à votre tempe pour vous dire je t’aime aussi…
    Tout cela, Monsieur, vous ne le savez pas, et quelque chose vous manque.
    Mais je ne sais pas si je dois vous plaindre ou vous envier… Parce que vous ne tremblez pas chaque fois qu’il tousse, ou éternue, ou n’a pas faim ; chaque fois qu’il s’est battu et que l’on cherche, dans son poil, la trace des morsures et des griffes ; chaque fois qu’il rentre tard et qu’on ne sait pas si, dans la rue, un imbécile, qui roulait trop vite, ne l’a pas projeté contre un mur, désarticulé, brisé…
    Mais vous ne connaîtrez jamais non plus, c’est vrai, le bonheur d’un amour gratuit partagé. Parce que les chats, Monsieur, c’est tout le contraire de ce que certains racontent : c’est tendre, c’est bon, c’est fidèle, c’est lucide, c’est intelligent, c’est doux et ça vous dit des choses… Tant de choses !...

    Dors, ma petite Moune, dors… Tu sautais moins bien, ces jours- ci… J’ai dit à ta maman : « il saute moins bien… Il vieillit, peut – être ?... Il a hésité dix fois avant de bondir sur le rebord de la fenêtre… »
    Je ne veux pas y penser. Il sera bien temps…Ce qui doit arriver un jour, c’est vrai pour tout le monde. Mais ça ne nous console pas de le savoir…
    Alors j’aurais voulu la prendre dans mes bras, cette femme que je connaissais à peine, et qui pleurait, et j’aurais voulu lui dire :
    « Je vous comprends… Pleurez tant que vous voudrez, pleurez sans vous soucier des autres. Eux ne savent pas, et moi si ........ "

    ( Extrait de « Le chat Moune et ses copains », de Philippe RAGUENEAU éditions Albin Michel )

       Ce texte se passe de tout commentaire .... il ressort une telle émotion, une telle beauté de cet amour de nos compagnons à 4 pattes !!!!!! 

     

    Si émouvant ......  

     


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  • A lire :  

     

    Un petit recueil zen : LE CHAT ET SES DIX LEÇONS DE SAGESSE A L'USAGE DE SON MAITRE. Auteur Joanna Sandsmark.
    Editions le Courrier du Livre. 96 pages. 10 euros.

    Accompagné de photos en noir et blanc, ces dix leçons de sagesse nées de l'observation de la gent féline sont loin d'être anodines.

    Ainsi, par exemple, l'auteur nous convie à se réfèrer à la façon dont le chat observe son territoire, et guide son lecteur pour "copier" ce regard et " explorer son armoire à linge mentale  ".
    Quelques pages de spiritualité ne laissent jamais indifférent.


    Bonne Lecture !!!!!!!!!!!


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  • "Les danseurs, en général, sont très proches des chats. J'en connais peu qui ne les aiment pas. Les chats les aiment aussi. Ils doivent avoir la même sensibilité, la même approche du beau, du mouvement souple, des gestes déliés."

    ( Maurice Béjart ) 



    LES PEINES DE COEUR D'UNE CHATTE ANGLAISE :


    J'ai vu il y a maintenant très longtemps (c'était en 1983), à Paris, la pièce "Peines de coeur d'une chatte anglaise", mais je ne sais plus dans quel théâtre, ni qui étaient le metteur en scène et les acteurs. Je le regrette car j'avais adoré, les costumes et les masques de chats étaient fabuleux. 

     

    En 1840, l'éditeur HETZEL a l'idée d'un grand livre collectif illustré par le caricaturiste Grandville : Scènes de la vie privée et publique des animaux. BALZAC (1799-1850) écrit cinq nouvelles pleine d'humour et d'esprit. Parmi ces textes, "Peines de coeur d'une chatte anglaise" relate les amours interdites d'une chatte blanche aristocratique, Beauty, et d'un matou sans le sou.

    Cette pièce, jouée avec des masques et des costumes flamboyants, a été mise en scène au théâtre par Alfredo ARIAS en 1977. Elle a été jouée plus de 300 fois à Paris et reprise à travers le monde. La fable sociale de BALZAC est métamorphosée par l'univers fantastique d'ARIAS.

     

     

    Le chat et le théatre :

     


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  • Dans le colis de Monique hier, il y avait ce livre trés intéressant  et qui a beaucoup plu à Balrog !!!!!!

     

    Les chats qui ont changé le monde :   

     

    Les chats qui ont changé le monde :  

     


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  • Colette et les chats :   

     

    La différence entre un chat et un chien. Un chien pense : ils me nourrissent, ils me protègent, ils m'aiment, ils doivent être des dieux. Le chat pense : ils me nourrissent, ils me protègent, ils m'aiment, je dois être DIEU.
     

    J'ai relu quelques textes de Colette et j'ai redécouvert cette immense auteure avec gourmandise . .Voici quelques uns des textes qu'elle leur a amoureusement consacrés :


    Le petit chat noir :

    J'ai peu vécu de la vie terrestre, où j'étais noir. Noir entièrement, sans tâche blanche au poitrail, ni étoile blanche au front. Je n'avais même pas ces trois ou quatre poils blancs, qui poussent aux chats noirs dans le creux de la gorge, sous le menton. Robe rase, mate, drue, queue maigre et capricieuse, l'oeil oblique et couleur de verjus, un vrai chat noir.
    Mon plus lointain souvenir remonte à une demeure où je rencontrai, venant à moi du fond d'une salle longue et sombre, un petit Chat blanc; quelque chose d'inexplicable me poussa au-devant de lui, et nous nous arrêtâmes nez à nez. Il fit un saut en arrière, et je fis un saut en arrière en même temps. Si je n'avais pas sauté ce jour-là, peut-être vivrais-je encore dans le monde des couleurs, des sons et des formes tangibles.
    Mais je sautais, et le Chat blanc crut que j'étais son ombre noire. En vain j'entrepris, par la suite, de le convaincre que je possédais une ombre bien à moi. Il voulait que je ne fusse que son ombre, et que j'imitasse sans récompense tous ses gestes. S'il dansait je devais danser, et boire s'il buvait, manger s'il mangeait, chasser son propre gibier. Mais je buvais l'ombre de l'eau, et je mangeais l'ombre de la viande, et je me morfondais à l'affût sous l'ombre de l'oiseau...
    Le Chat blanc n'aimait pas mes yeux verts, qui refusaient d'être l'ombre de ses yeux bleus. Il les maudissait, en les visant de la griffe. Alors je les fermais, et je m'habituais à ne regarder que l'ombre qui régnait derrière mes paupières.
    Mais c'était là une pauvre vie pour un petit Chat noir. Par les nuits de lune je m'échappais et je dansais faiblement devant le mur blanc, pour me repaître de la vue d'une ombre mienne, mince et cornue, à chaque lune plus mince, et encore plus mince, qui semblait fondre..
    C'est ainsi que j'échappai au petit Chat blanc. Mais mon évasion est une image confuse. Grimpai-je le long du rayon de lune ? Me cloîtrai-je à jamais derrière mes paupières verrouillées ? Fus-je appelé par l'un des chats magiques qui émergent du fond des miroirs ? Je ne sais. Mais désormais le Chat blanc croit qu'il a perdu son ombre, la cherche, et longuement l'appelle; Mort, je ne goûte pourtant pas le repos, car je doute. Peu à peu s'éloigne de moi la certitude que je fus un vrai chat, et non pas l'ombre, la moitié nocturne, le noir envers du chat blanc.

    (Colette, Autres bêtes, Chats.)


    Le matou :


    " Je suis le matou. Je mène la vie inquiète de ceux que l'amour créa pour son dur service. Je suis solitaire et condamné à conquérir sans cesse, et sanguinaire par nécessité. Je me bats comme je mange, avec un appétit méthodique, et tel qu’un athlète entraîné, qui vainc sans hâte et sans fureur.
    C'est le matin que je rentre chez vous. Je tombe avec l’aube, et bleu comme elle, du haut de ces arbres nus, où tout à l’heure je ressemblais à un nid dans le brouillard. Ou bien, je gIisse sur le toit incliné, jusqu’au balcon de bois; je me pose au bord de votre fenêtre entrouverte, comme un bouquet d'hiver ; respirez sur moi toute la nuit de décembre et son parfum de cimetière frais ! Tout à l'heure, quand je dormirai, ma chaleur et la fièvre exhaleront l'odeur des buis amers, du sang séché, le musc fauve...
    Car je saigne, sous la charpie soyeuse de ma toison. Il y a une plaie cuisante à ma gorge, et je ne lèche même pas la peau fendue de ma patte. Je ne veux que dormir, dormir, dormir, serrer mes paupières sur mes beaux yeux d’oiseau nocturne, dormir n’importe où, tombé sur le flanc comme un chemineau, dormir inerte, grumeleux de terre, hérissé de brindilles et de feuilles sèches, comme un faune repu....
    Je dors, je dors... Une secousse électrique me dresse parfois, - je gronde sourdement comme un tonnerre lointain, - puis je retombe....Même à l'heure où je m'éveille tout à fait, vers la fin du jour, je semble absent et traversé de rêves ; j’ai l’oeil vers Ia fenêtre, l’oreille vers la porte...
    Hâtivement lavé, raidi de courbatures, je franchis le seuil, tous les soirs à la même heure, et je m'éloigne, tête basse, moins en élu qu'en banni ... Je m'éloigne, balancé comme une pesante chenille, entre les flaques frissonnantes, en couchant mes oreilles sous le vent. Je m'en vais, insensible à la neige. Je m'arrête un instant, non que j'hésite, mais j’écoute les rumeurs secrètes de mon empire, je consulte l'air obscur, j’y lance, solennels, espacés, lamentables, les miaulements du matou qui erre et qui défie. Puis, comme si le son de ma voix m'eût soudain rendu frénétique, je bondis... On m'aperçoit un instant sur le faîte d'un mur, on me devine là-haut, rebroussé, indistinct et flottant comme un lambeau de nuée - et puis on ne me voit plus...
    Les nuits d’amour sont longues ... Je demeure a mon poste, dispos, ponctuel et morose. Ma petite épouse délaissée dort dans sa maison. Elle est douce et bleue, et me ressemble trop. Ecoute-t-elle, du fond de son lit parfumé, les cris qui montent vers moi ? Entend-elle, rugi au plus fort d'un combat par un mâle blessé, mon nom de bête, mon nom ignoré des hommes ?
    Oui, cette nuit d'amour se fait longue. Je me sens triste et plus seul qu’un dieu... Un souhait innocent de lumière, de chaleur, de repos traverse ma veille laborieuse... Qu’elle est lente à pâlir, l'aube qui rassure les oiseaux et disperse le sabbat des chattes en délire ! Il y a beaucoup d'années déjà que je règne, que j'aime et que je tue... Il y a très longtemps que je suis beau... Je rêve, en boule, sur le mur glacé de rosée ... J’ai peur de paraître vieux.


    (Colette, La paix chez les bêtes )

    Noir:
    "Noir dans le noir. Plus noir que le noir. Plus noir que le combat de nègres à minuit dans une cave. Je n'ai pas besoin, pour disparaître, de me cacher; je cesse seulement d'exister, et j'éteins mes phares. Mais je fais mieux encore, je dépose mes deux phares d'or au ras du tapis, flottants dans l'air, visibles et insaisissables, et je m'en vais à mes affaires...
    C'est de la magie ? Mais bien sûr. Croyez-vous qu'on soit noir à ce point, sans être sorcier ?"


    (Colette, Autres bêtes, Chats de Paris. )

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  • Un trés beau livre que je viens de redécouvrir .......   L'enfant qui dessinait les chats par Arthur Levine.
     
                  L'histoire est un conte populaire japonais: le petit Kenji vit pauvrement avec sa mère et ses frères, mais, trop faible pour les travaux des champs, il dessine pour distraire ses frères de leur labeur. Craignant pour sa santé, sa mère décide de le confier à un monastère pour lui assurer une éducation. L'un des prêtres aimant beaucoup les chats, Kenji se met à dessiner des chats pour lui faire plaisir. Mais les autres prêtres voient d'un mauvais oeil que Kenji se consacre à ce loisir plutôt qu'à ses études: chassé du monastère, il erre jusqu'à un village qui vit dans la terreur d'un terrible rat sorcier. Mais Kenji l'ignore lorsqu'il entre dans le temple et commence à peindre des chats sur tous les murs... 


    Frédéric Clément dessine de superbes chats dans tous les recoins des pages. Les aquarelles sont splendides. Je vous encourage à découvrir ce chef d'oeuvre de dessin et de poésie.

     

    L'enfant qui dessinait les chats :  

     


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  •        Les gens qui aiment les chats rêvent d'un monde tranquille et doux,
           Les gens qui aiment ls chats n'ont pas peur du silence .
           Les gens qui aiment les chats adorent l'indépendance qui'ils ont, car cela leur garantit leur
           propre liberté . 
           Les gens qui aiment les chats font semblant d'être adultes et gardent secrètement une envie de ne pas grandir ......... " 

     

    Reçu en cadeau .....   

     

    Entre écriture et belles images, ce livre vous invite à une douce promenade auprès des chats d'Anny Duperey .
    Fuyant au détour d'une rue, sommeillant paisiblement sur une chaise, lovés dans les bras, pensifs derrière une fenêtre, jouant ici et là, curieux et bienveillants, indépendants et vagabonds : la comédienne et auteur sait mieux que quiconque parler des chats, de leur regard, leur silence, leur présence, de ce lien qui les unit aux hommes et aux femmes . Un texte senti, doux, émouvant, vent accompagner plus de 200 photographies superbes, dont certaines sont d'Anny  Duperey elle-même . 
    Un album plein de poésie pour tous les amoureux des chats . 

    Déjà un amateur !!!!!!!! 

     

    Reçu en cadeau .....   

     


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